crédit avatar feat star

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« Dit Raf' ! Pourquoi t'es toujours si optimiste ? » « Parce que tout finit toujours pas s'arranger... » « Quand même, t'es trop fort... » Le pire c'est qu'elle avait raison ma soeur. Enfin, vous comprendrez après avoir lu la suite.

CHAPTER ONE : NO MORE CHILHOOD.
Nous étions une famille unie, mon père jouait avec nous en rentrant du boulot, ça faisait très cliché de vieille séries américaines enfaite. Il rentrait, on lui sautait presque dessus mon frère, ma sœur et moi tellement on était content de le voir. Notre mère riait de nous voir ainsi, elle préparait encore de la lasagne et je peux vous dire que sa lasagne, c'était quelque chose ! Même si elle parlait toute seule en la préparant, elle la faisait super bien, même si Papa ne voulait pas qu'elle y touche, a la cuisinière. Enfaite maman avait un problème, elle était schizophrène et, à l'époque, on avait pas encore inventé les petites pilules magiques qu'on prenait pour calmer les troubles du comportement. Maman était pourtant parfaite a nos yeux, mais un jour elle s'est énervée sur Kim, elle l'a même frappée d'après papa ! Je n'y croyais pas, mais Kim m'a dit que c'était vrai et c'est même pour ça qu'ils sont venu chercher maman. Des hommes en blancs, je ne voulais pas qu'elle parte mais j'étais à l'école, c'est Dilan qui m'a raconté ça, lui était malade et il était resté a la maison. Ils l'ont prise...
C'était déjà moins bien à la maison, tout le monde était triste sans maman mais papa disait qu'il n'avait pas eu le choix, que maman n'allait pas bien. Au début, je lui en voulais, il m'avait retiré ma maman et je n'avais que 7 ans ! C'est pas juste. Tout mes copains ont encore leur mère. Mais le pire, ce fut cette nuit là. Mon père sortit de son lit, il venait de parler a quelqu'un au téléphone. Je sortis également de mon lit et le suivit, dans la cuisine je lui fis face, il pleurait. « Papa, pourquoi tu pleurs ? » L'homme releva la tête et me fixai, il vint près de moi et me pris dans ses bras, je ne comprenais pas, je lui reposai la question et il me lâchai, me regardant dans les yeux « Rafaël... C'est ta maman. Tu sais qu'elle a toujours été très gentille, alors maintenant le bon Dieu a besoin d'elle parmi ses anges. Elle est partie, mais elle veillera toujours sur toi, sur nous. » Je ne comprenais pas, papa disait toujours que maman était un ange, alors pourquoi me le répétait-il ? « Mais tu m'as toujours dis que maman était un ange. » dis-je avec un sourire innocent, je n'avais pas compris ce que mon père avait tenté de me dire, alors il me ré-expliqua. Je compris rapidement enfaite, je pleurai dans ses bras, ma maman était mort. J'avais 8 ans a ce moment là.

CHAPTER TWO : IN MUSIC I'VE FOUND MY WONDERLAND
Rapidement après l'enterrement, je demandai un guitare a mon père avec plus d'insistance. Déjà a cet age, je savais que j'avais besoin d'une échappatoire et la musique me semblait être le meilleur moyen. Maman écoutait beaucoup de musique, elle était aussi une incroyable interprète. Seulement mon cher père ne se décidai a m'acheter ma guitare qu'a mes 11 ans, ainsi je passai trois ans a écouter les Cds de ma mère que je m'étais appropriés ainsi que sa vieille chaine hi-fi.
L'apprentissage de l'instrument se fit assez rapidement, je jouais pour vivre et je vivais pour jouer. J'en ai cassé des cordes durant mon apprentissage, je jouais de manière trop passionnée, sans doute. En tout cas je passais tout mon temps à ça, allant jouer dans les parcs ou dans la foret, a l'abri des arbres et de la nature.

CHAPTER THREE : I THOUGHT I'VE FOUND TRUE LOVE.
Puis ce fut l'adolescence, avec son lot de joies et de peines, mais surtout avec le premier amour. J'étais tombé amoureux de ma meilleure amie, elle avait de long cheveux bruns et un visage d'ange, elle souriait a tout, a la vie en générale, c'est elle qui m'a apprit a ne voir que les coté positif. Elle chantait sur mes compositions, sa voix emmenait mon cœur se promener loin, très loin dans le sien. Elle était parfaite, mais je ne l'étais pas.
Vous pensiez peut être que j'étais un garçon propre sur lui ? Raté. Je fumais comme un pompier et je n'avais que 15 ans, je buvais aussi de temps à autre, j'avais la parfaite dégaine de l'artiste en mal de vivre, mon frère, Dilan, n'arrêtais pas de me dire que je n'étais qu'un con a me comporter comme ça, que je devais donner le bon exemple a Kim mais pour le moment ma petite sœur restait sage alors je continuais.
Un jour je suis sortie avec Lennon, on a bu et fumé toute la soirée, on ne fumait pas de drogues, pas encore me concernant. Mais on est rentré chez elle, son père n'était pas là et sa a finit dans son li. On était tout les deux vierges, mais c'était avec elle que je voulais que ça se passe, parce que je l'aimais. Après ça on est sortit ensemble un an, l'année la plus parfaite de ma vie. Jusqu'à ce qu'elle me plaque pour un imbécile.
Elle m'a fait tellement de mal que j'ai voulu la blessée a mon tour, alors je suis sortie avec sa meilleure amie à elle. J'étais entré dans une spirale infernale, l'amour pour moi n'était qu'une vaste connerie, un concept rentable a Hollywood, rien de plus. J'enchainai alors les filles, changeant de copine plus souvent que de chemise.

CHAPTER FOUR : JUST LIVE
Puis je me suis plutôt calmé, vivre ce n'est pas que collectionner les filles et fumer avec des potes. Non, c'est aussi et surtout avoir un but. Aujourd'hui mon but est simple, je veux devenir quelqu'un de reconnu, pour le moment je travaille dans un petit journal ou j'écris quelques rubriques, mais avec cette histoire d'hotels et de villas luxueuses, il y a une place à prendre quelques part dans les médias et je compte bien la prendre. L'issue de l'histoire ? Je m'en fiche, je ne veux qu'être reconnu.

décris nous ton sale caractère en un minimum de quinze lignes.